Les écoles d'ingénieurs viennent en aide aux start-up

Les écoles d'ingénieurs viennent en aide aux start-up

12 Juin 2012 | Romain Proton | 0 commentaire

Les écoles d'ingénieurs viennent en aide aux start-up

Les Ingénieurs ne manquent pas de travail et les débouchés sont multiples, épargnés par la crise car indispensable, certains secteurs sont en véritable manque et embauchent à bras ouvert (article les secteurs créateurs d’emplois). 
Les startups en difficultées
Mais pour les ingénieurs qui souhaitent développer une startup pour réaliser un projet cela devient plus dur. Les investissements pour lancer une startup sont toujours risqués et les investisseurs préfèrent investir dans une société qui aura déjà fait ses preuves et qui sera en cours de développement.
Mais devant ce constat, les écoles qui ont formé ces ingénieurs ne peuvent pas et ne veulent pas voir des projets innovants pouvant révolutionner la vie de demain, passer à la trappe pour des problèmes d’investissements. C’est pour ça que ces écoles se sont rassemblées dans le but de créer un fond d’investissement à destination des anciens étudiants ingénieurs pour pouvoir développer leurs projets.
Cette alliance permet de regrouper tous les services investissements de différentes écoles pour créer l’Adera (Association pour le Développement de l’Enseignement et des Recherches auprès des universités, des centres de Recherche et des entreprises d’Aquitaine).
Cette association (filiale de l’Institut polytechnique de Bordeaux, de l’université de Bordeaux et de l’université de Pau), Arts (Arts et métiers Paristech), Centrale innovation (écoles centrales de Lyon, Nantes et Marseille), INPG Entreprise (Grenoble INP), Insavalor (Insa de Lyon) et Transvalor (Mines Paristech) organise des colloques et des congrès, s’occupe des relations universités/industries et dorénavant investit dans des projets d’ingénieries réalisés par d’anciens étudiants. 
Même si les sociétés de valorisations des écoles participent déjà au financement de projet ce regroupement permet un investissement beaucoup plus conséquent grâce aux fonds disponibles et propose donc des tickets pouvant variés de 50 000 à 200 000 euros. 
Certes ces sommes reste inférieures aux investissements de grosses sociétés, mais les sociétés de valorisation des écoles bénéficient de la proximité, puisqu’elles peuvent suivre et accompagner la startup lors de son lancement. Tous les investissements seront centralisés et traités par Pertinence Invest, un autre avantage auquel vient s’ajouter encore un autre,  puisqu'à l’inverse des grosses sociétés d’investissements cette association a décidé de ne pas se fixer de limite de temps dans le cadre de ses investissements.
L'Adera a de l’avenir puisque certaines écoles d’ingénieurs qui ne faisaient pas parti de l’organisme ont demandé à pouvoir y rentrer et participer aux investissements.

Les ingénieurs ne manquent pas de travail et les débouchés sont multiples, épargnés par la crise car indispensable, certains secteurs sont en véritable manque et embauchent à bras ouvert (article les secteurs créateurs d’emplois). 


Les start-up en difficulté


Mais pour les ingénieurs qui souhaitent développer une start-up pour réaliser un projet cela devient plus dur. Les investissements pour lancer une startup sont toujours risqués et les investisseurs préfèrent investir dans une société qui aura déjà fait ses preuves et qui sera en cours de développement.


Mais devant ce constat, les écoles qui ont formé ces ingénieurs ne peuvent pas et ne veulent pas voir des projets innovants pouvant révolutionner la vie de demain, passer à la trappe pour des problèmes d’investissements. C’est pour ça que ces écoles se sont rassemblées dans le but de créer un fond d’investissement à destination des anciens étudiants ingénieurs pour pouvoir développer leurs projets.


Cette alliance
permet de regrouper tous les services investissements de différentes écoles pour créer l’Adera (Association pour le Développement de l’Enseignement et des Recherches auprès des universités, des centres de Recherche et des entreprises d’Aquitaine).


Cette association (filiale de l’Institut polytechnique de Bordeaux, de l’université de Bordeaux et de l’université de Pau), Arts (Arts et métiers Paristech), Centrale innovation (écoles centrales de Lyon, Nantes et Marseille), INPG Entreprise (Grenoble INP), Insavalor (Insa de Lyon) et Transvalor (Mines Paristech) organise des colloques et des congrès, s’occupe des relations universités/industries et dorénavant investit dans des projets d’ingénieries réalisés par d’anciens étudiants. 

Un fond d'investissement beaucoup plus conséquent


Même si les sociétés de valorisations des écoles participent déjà au financement de projet ce regroupement permet un investissement beaucoup plus conséquent grâce aux fonds disponibles et propose donc des tickets pouvant variés de 50 000 à 200 000 euros.

Certes ces sommes reste inférieures aux investissements de grosses sociétés, mais les sociétés de valorisation des écoles bénéficient de la proximité, puisqu’elles peuvent suivre et accompagner la startup lors de son lancement.

Tous les investissements seront centralisés et traités par Pertinence Invest, un autre avantage auquel vient s’ajouter encore un autre,  puisqu'à l’inverse des grosses sociétés d’investissements cette association a décidé de ne pas se fixer de limite de temps dans le cadre de ses investissements.


L'Adera a de l’avenir puisque certaines écoles d’ingénieurs qui ne faisaient pas parti de l’organisme ont demandé à pouvoir y rentrer et participer aux investissements.

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