GravityLight, de la lumiere pour les pays en voie de developpement

GravityLight, de la lumiere pour les pays en voie de developpement

Éclairer les maisons de villages d’Afrique et d’Inde à moindre coup, c’est le défi que se sont lancé deux inventeurs anglais. Avec la création de GravityLight, ce pari est quasiment réussi.

26 Décembre 2012 | Romain Proton | 0 commentaire

GravityLight, de la lumiere pour les pays en voie de developpement



GravityLight, la gravité comme source d’énergie

Jim Reeves et Martin Riddiford ont mis au point une lampe qui fonctionne sans énergie coûteuse. Avec GravityLight il n’est ni question de carburant, ni de batterie, ni de panneaux solaires, seule la gravité suffit à éclairer une pièce avec le dispositif. Après 4 ans de conception, le projet arrive à son terme et permet de fournir une source de lumière sans engranger d’autres dépenses.

Il est pour l’instant disponible pour moins de 10 dollars pièce, un prix abordable pour les pays en voie de développement, directement ciblés par ce projet. L’objectif principal à ce jour est d’améliorer encore la lampe pour pouvoir baisser son prix sous la barre des 5 dollars grâce aux économies d’échelle. Pour ce qui est de la distribution, les deux inventeurs anglais espèrent avoir le soutien d’ONG pour bénéficier de leur expérience dans le domaine humanitaire.



30 minutes d’autonomie





Dans cette vidéo on peut voir Martin Riddiford et Jim Reeves dans la fabrication du produit qu’ils nous présentent par la même occasion. On peut voir que si l’utilisation principale de GravityLight est l’éclairage, le dispositif peut être modifié pour donner de l'énergie à une radio ou à une lampe torche.

Pour faire fonctionner la lampe, il faut simplement y attacher un poids pour que l’appareil commence à générer de l'énergie. Une fois chargé, GravityLight a une autonomie d’environ 30 minutes.

L’opération est encourageante et motive également les investisseurs : la campagne de crowdfunding a permis de récolter plus de 200 000 dollars alors que les deux anglais n’en demandaient que 55 000 pour leur projet.



Que pensez vous de ce projet humanitaire ? L’investissement en vaut il la chandelle ?

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